Artistes

Claire Bellamy

D’origine calaisienne, Claire Bellamy a étudié le piano et la contrebasse classique au Conservatoire de Dijon, puis s’est tournée progressivement vers la musique contemporaine, les musiques improvisées, et finalement vers le jazz qu’elle a étudié avec Yves Torchinski au Conservatoire de Lille jusqu’à l’obtention du D.E.M. en 2008.

Parallèlement à ces apprentissages « académiques », elle éprouve un besoin évident de construire des projets musicaux, de rencontrer la musique vivante et les musiciens.

Elle est aujourd’hui dans plusieurs projets, notamment le Duo Free Songs avec Juliette Kapla, et le quartet Zalinka auprès de Clémence Vandaele, Solo Gomez et Ségolène Brutin.

Rencontres et collaborations artistiques :

  • musique contemporaine : Frédéric Schtoll et Garth Knox en 1999
  • musique du monde : Thierry « Titi » Robin en 2007 ; Fawzi Al Ayedi et Evelyne Girardon en 2010
  • jazz : François Couturier et Jean-Marc Larché en 1998 ; Arfi : en 2004 ; Franck Tortiller en 2006 ; Thierry Lalo en 2009 et 2010 ; Laurence Saltiel en 2012
  • chanson française : Romain Didier en 2011 ; a accompagné Anne Sylvestre, Yves Jamait, Aldebert en 2012
  • autre : Pascal Ayerbe en 2010

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Duo Free songs

Les Free-songeuses improvisent autant qu’elles écrivent ; elles alternent avec bonheur leurs propres chansons et de pures improvisations à partir des mots donnés par les spectateurs. Des moments d’improvisation poétique et musicale, qui ressemblent à des chansons ou à des poèmes en musique, ou encore qui ne ressemblent à rien de connu.

Juliette Kapla

Chanteuse, auteure et comédienne, Juliette est une artiste polyvalente. Elle est chanteuse de chansons, d’opéra, de musique brésilienne et de free-jazz. Vocaliste dans des registres variés, elle joue de toutes les possibilités de sa voix, dans une tessiture très large, dans ses couleurs douces ou hurlées. Elle utilise le parlé-chanté, la scansion, le murmure, la voix lyrique…

Auteur de chansons et de fantaisies verbales, sa plume est très appréciée et a donné lieu à divers rebonds sur des blogs littéraires. Elle improvise ses textes, comme d’autres leur musique, une pratique assez rare qui la rend d’autant plus singulière. Cette expérience, largement développée avec divers partenaires depuis, a été initiée en duo avec Claire Bellamy à l’invitation de France Culture (Thomas Baumgartner, l’Atelier du Son) pour le Printemps des Poètes en mars 2014.

Elle est artiste associée à la Compagnie Lubat où son audace et sa créativité sont régulièrement sollicitées, notamment dans l’Enchantier permanent du spectacle improvisé Etats d’Engeance.

Ses principaux spectacles sont ceux qu’elle écrit : le duo Free-Songs (chansons dérangées avec Claire Bellamy), le solo Fautes de Frappe (clown free-jazz, one-woman show hilarant et inclassable), et Chaussures à son Pied (poésie et musique en mouvement – théâtre).

Sa grande adaptabilité et sa créativité lui permettent de créer des spectacles en marge des théâtres – ce qui ne l’empêche pas de jouer le plus souvent dans les théâtres, en solo ou en compagnie.

Elle a travaillé au Kurdistan Irakien entre 2012 et 2015, comme chanteuse et auteur dans le groupe Dou ba Dou (kurdo-français) porté par la Pluie d’Oiseaux ; elle a créé avec Nima BenDavid et Taxiarchis Vasilakos le spectacle jeune public Washable ou le sens de la vie, d’après Mickaël Ende.

Elle a enregistré des improvisations libres (texte, voix, piano) avec le pianiste Robert Kaddouch pour la sortie de ses albums de duos (avec Martial Solal, André Minvielle, Chuck Israël et Gary Peacock). Un album est sorti en 2015.

Elle joue la musique du spectacle jeune public Adam Rêve (Cie UMA) de et avec Juliette Baron, créé en 2023.

Juliette Kapla a contribué à la création de la compagnie Babils et Sabirs à Lille, qui accompagne toutes ses activités. Elle intervient régulièrement dans des établissements scolaires et centres culturels en théâtre, voix et ateliers d’écriture. Elle a élaboré une forme singulière de mise en voix, qui facilite la lecture orale et analytique des élèves, appliquée avec succès en lycée et collège.

Elle a le goût des langues (espagnol, allemand, anglais, arabe, kurde, portugais… français !) avec les sonorités desquelles elle aime jouer.


A UG#6

Duo Free songs

Les Free-songeuses improvisent autant qu’elles écrivent ; elles alternent avec bonheur leurs propres chansons et de pures improvisations à partir des mots donnés par les spectateurs. Des moments d’improvisation poétique et musicale, qui ressemblent à des chansons ou à des poèmes en musique, ou encore qui ne ressemblent à rien de connu.

Jessica Rivière

Jessica Rivière est une artiste pluridisciplinaire : auteure, metteuse en scène et comédienne.

Elle commence le théâtre sur les bancs du Cours Simon puis en parallèle d’une licence de lettres modernes, Aux Ateliers du Sudden, cours privé dirigé par Raymond Acquaviva, où elle obtient son diplôme d’Art Dramatique. Elle apprend le jeu masqué et la Commedia Dell Arte avec le Théâtre du Hibou et parfait son enseignement auprès de Claude Degliame, Jean Michel Rabeux, Benoît Lambert et Frédéric Sonntag. Elle se forme au trapèze à l’Académie Fratellini et pratique la danse contemporaine et modern’ Jazz.

Elle joue dans Le Songe d’une Nuit d’été de Shakespeare mes Raymond Acquaviva, Séance de Nuit de Georges Feydeau mes Annabelle Guilhem, Anouilh dans tous ses états mes Thierry Harcourt, Des âmes sur le béton des villes de Jean Pierre Siméon mes Rémi Prin, Un Fil à la Patte de Georges Feydeau mes Isabelle Starkier, Wikileaks : the papers mes Franck Lebovici, Les canailles, un mariage orthopédique de Lucas Olmedo, Blanche Neige et Tu seras un homme, ma fille qu’elle co-écrit et co-met en scène avec Marion Champenois, Alya et Peau d’Ane écriture et mise en scène d’Agnès Valentin et Le livre des ciels de Leslie Kaplan mes de Philippe Penguy. En théâtre de rue : avec La Compagnie Clarance Vidocq et Aimez vous les uns les autres de Rodolphe Trouilleux mes Jean Grimaud, avec la Cie In Situ Paris les yeux fermés et avec la Cie Par Has’Arts J’aime à chahuter le silence.

En mise en scène, elle assiste Isabelle Starkier pour Résister c’est exister avec François Bourcier et signe sa première mise en espace Ulysse contre-attaque ou le chant X de l’Odyssée raconté à deux voix au Festival d’Aurillac 2012 avec La Compagnie Par Has’arts. Elle fonde La Compagnie Boréale en 2014 avec laquelle elle met en scène Petites histoires de la folie ordinaire de Petr Zelenka, Blanche Neige et Tu seras un homme, ma fille qu’elle co-écrit avec Marion Champenois, La chanson de la pluie adaptation de l’animation The song for rain de Yawen Zheng et Mémoire de femmes rurales qu’elle écrit dans le cadre du dispositif Drac « Territoire Rural, Territoire de Culture ».

Depuis 2017, elle est artiste associée de La Merise à Trappes-en-Yvelines pour le Festival Banlieues’Arts et Chemin des Arts où elle a mis en scène et co-écrit 8 créations avec des lycéens, des collégiens et des élémentaires. Elle développe ce partenariat en2020 avec Le Théâtre du Château d’Eu Scène Conventionnée Art en Territoire et avec Seine Normandie Agglomération et L’Espace Philippe Auguste de Vernon à destination du jeune et tout public.

Elle mène, chaque année, des projets de résidences d’artistes et jumelages avec la Drac Normandie sur tout le territoire normand en partenariat avec : le Trident Scène Nationale deCherbourg-en-Cotentin, le Théâtre de L’Éclat de Pont-Audemer Scène Conventionnée Art, Enfance, jeunesse, la DAAC et les Musées de la RMM de Rouen, la Source Géroulde…

En 2022, elle devient professeure de théâtre au Conservatoire de Val de Reuil.
En 2023, elle prépare une installation numérique pour le Festival Noob 2023, prémisse à sa future création J’habite un ciel sans nuages, prévue en avril 2024.


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Mémoire de femmes rurales 

Comme point de départ de la pièce, un drame météorologique frappe une famille d’agriculteurs. A cela se greffent de nombreuses histoires, réelles et fictives, qui questionnent la place des femmes en milieu rural. Ces histoires sont composées à partir de paroles de femmes récoltées en Normandie.

Cette autrice est lauréat de l’Aide nationale à la création de textes dramatiques – ARTCENA

SaSo

Il est question de lumière dans la musique de SaSo. Celle qui éclaire un chemin comme celle qui se cache derrière les cimes des arbres pour nous plonger dans la pénombre. Rassurante et élégante, on y croise le doute qui danse avec des fantômes, des fusées de détresse et des mains tendues. Elle explore les contours d’un rock minimaliste, sensible et tendu, puissant et aérien. On y entend alors des mélodies organiques qui jouent la musique d’un monde intérieur, religieuse et salvatrice, mais résolument moderne. En quelques mots, du fond du coeur, SaSo brille d’une simplicité incandescente.


Arrivée à Lille en 2000, Sophie Sand fait rapidement la connaissance d’artistes avec lesquels elle collaborera sur différents projets musicaux et théâtraux. Elle chante, joue tour à tour de la guitare, caisse claire, du trombone ou encore de l’accordéon dans différentes formations lilloises.

Avec SaSo, elle devient fin 2010 auteure et compositrice.

Du solo sur le fil qui vit éclore « Wolf and Birds » son premier opus mélancolique aux accents folk et épurés en 2013, SaSo a grandi en duo et livre début 2015 « Full Moon », un EP plus rageur, témoin du chemin parcouru, qui obtiendra l’Aide à l’Autoproduction de la Sacem ainsi qu’une sélection pour la finale des Inouïs du Printemps de Bourges Hauts de France en 2017.
Elle a joué avec Bertrand Belin, Keren Ann, Hindi Zahra, Carmen Maria Vega, Féloche, Arno, An Pierlé, Baden Baden
TOUT EST SAUVAGE est son premier album sorti en avril 2018. Elle y plonge dans l’écriture en français, autrefois plus rare, et s’entoure de nouveaux collaborateurs qui la suivront dans les Ardennes où un studio s’improvise dans une vieille maison à l’hiver 2016/17. La création visuelle est signée Kiki Bronx, qui avaient déjà réalisé son clip sorti en 2015. L’écriture est poétique, habitée, la musique tribale et envolée, puissante et hypnotique.


En parallèle, elle a créé en 2014 le collectif/chorale féminine Chauffe Marcelle ! qui compte un
centaine de chanteuses amateures, dont elle est cheffe de choeur.
Elle accompagne également des auteures et poètes lors de lectures concerts et performances :
Amandine Dhée (Lille) et Sophie G. Lucas (Nantes) signées aux Editions La Contre-Allée.
Elle est enfin la moitié de L’Argousier, duo post punk poétique, dont il est arrivé qu’on trouve des accointances avec Mansfield Tya, Cocorosie ou Young Marble Giant.


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SaSo nous présente une sélection de ses compositions personnelles.

Law Cailleretz

Arpentant les multiples territoires des arts de la parole, Law est artiste à la Générale d’Imaginaire où iel développe son travail d’écriture et de conception de spectacle. Tout commence avec Amandine Dhée et Ange Gabriel.e qui l’associent à la création du collectif des Encombrantes et le spectacle Je nous tiens debout, créé sous le regard d’Anne Conti au sein de la Générale d’Imaginaire.
Puis, avec Camille Guenebeaud pour créer Nyctalope, un spectacle qui questionne les rapports sociaux dans l’espace public.

Law est rappe également dans un live de rap érotique « LAW » créé au sein de la Cave
aux poètes en collaboration avec Mathieu Harlaut, Dj Dirty Berlin et Numérobé.

Depuis 10 ans, Law multiplie les casquettes de acting, performance, rap, dans diverses compagnies de la région et structures promouvant un art engagé, poétique et audacieux. Ainsi, après avoir travaillé à T’OP théâtre de l’opprimé et dans le collectif XXY durant de maintes années, Law collabore aujourd’hui avec La Ponctuelle et la Cave aux poètes, mais intervient également régulièrement avec l’ARA et l’association Tournesol.

Son dernier spectacle LIQUIDES LYRIQUES, porté par la Générale d’Imaginaire, est mis en scène par Lucien Fradin et Aurore Magnier de La Ponctuelle. C’est un concert spectacle de rap, spoken word érotique et vidéo dans lequel Law performe aux côtés de Dirty Berlin aux platines.

Enfin, Law pratique la Gestalt thérapie dans un centre de santé inclusive  Bruxelles où iel puise également la dimension holistique de son art.


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Poésie musicale

Marie-Laure Baudain alias Pauline Couic

Née en 1978 à Cherbourg, elle travaille comme comédienne pour le théâtre avec des metteurs en scène comme Armel Roussel, Serge Tranvouez ou Guy Delamotte. Elle approche le clown en 2004. Elle souhaite approfondir cette discipline en 2008, en suivant une formation longue « L’acteur-clown à travers les comédies humaines : ayons la somme de tous nos âges », au Centre National des Arts du Cirque. Au Prato, elle crée le personnage de Pauline Couic et un solo éponyme, sous la direction d’Olivier Lopez en 2011 et de Gilles Defacque.

Elle poursuit sa carrière de clownesse dans diverses créations produites par La Cité/ Théâtre : Pierre et le Loup… Insolite avec l’Orchestre de Basse-Normandie en 2013, Les Clownesses (Le Rexy/SN de Petit-Quevilly-Mont Saint Aignan, en 2013) et assiste à la mise en scène Gilles Defacque dans Soirée de gala (2013). En 2014 elle joue dans Cet enfant de Joël Pommerat mis en scène par Clotilde Labbé. En 2017, elle retrouve Pauline Couic dans Bienvenue en Corée du Nord mis en scène par Olivier Lopez.

En 2018, la compagnie Et vous en vivez ? est fondée à Caen sous son impulsion, lui permettant de proposer un solo, Chaos, Courroux et Cataclysme, créé au Théâtre des Bains Douches au Havre (programmation du Volcan) en janvier 2022. S’en suivra la même année la deuxième création de la compagnie, On a tous quelque chose en nous… qui reprend sa tournée à la rentrée 2023. Une troisième création est prévue pour l’automne 2025 intitulée Aux innocents les mains pleines.

Cette compagnie est née du besoin de pousser la réflexion sur l’art et la figure du clown. Cette quête accapare Marie-Laure Baudain depuis de nombreuses années. S’interroger aujourd’hui sur le clown est une façon d’interroger la société, l’ordre, la morale, la transgression, l’espace de résistance, tout en proposant, le temps d’un spectacle, d’inventer une autre réalité, de sublimer le réel et le cruel.
Une volonté l’anime : celle de décloisonner et de dépoussiérer cet art en lui offrant une véritable écriture dramaturgique mais aussi une réflexion scénographique et esthétique. Il semble urgent aujourd’hui de sortir le clown des clichés qu’il véhicule, mais aussi du divertissement, sans pour autant en oublier les origines. Mais le clown, au même titre que d’autres disciplines, a le droit de s’émanciper.

En parallèle, elle mène divers stages et master classes de clowns (Caen, Lille, Rouen, Le Havre) et transmet au sein de différents conservatoires et écoles de théâtre (Alençon, Belfort, ESAD Paris).


A UG#6

On a tous quelque chose en nous

Impossible, bien sûr, de ne pas compléter le titre de cette incontournable chanson du répertoire populaire français. C’est justement à la recherche de ce « quelque chose de Tennessee » que part un duo bringuebalant, réunissant une clownesse et un drôle aux allures de clown blanc.

Julie Forquet

Julie découvre et se passionne pour le théâtre, la danse, la musique, les arts plastiques et l’écriture poétique dès l’âge de 11 ans. Elle y éprouve une révélation: ouvrir à tou.te.s l’accès aux pratiques artistiques dès le plus jeune âge contribue à l’épanouissement personnel. 
Elle découvre les arts de la rue lors du festival Chalon dans la rue et s’initie au souffle de liberté des spectacles et au rapport avec un public libre dans une ville qui semble appartenir à tous. 

Au lycée, Julie découvre le théâtre militant et prend conscience du pouvoir politique du théâtre : elle rêve de pouvoir changer le monde. Elle suit des ateliers et stages à La Comédie de Béthune, auprès de Laurent Hatat, Bruno Buffoli et Jean-Claude Berruti ainsi qu’au cours Florent à Paris. Elle rentre à l’université de Lille3 où elle obtient un DEUG Médiation culturelle et communication, une Licence puis une maîtrise en études théâtrales; validant en parallèle le parcours « Mise en scène » de l’INSAS de Bruxelles. 


En 2003, monte la compagnie L’Arrêt Création avec laquelle elle écrit et met en scène plusieurs formes spectaculaires protéiformes et pluridisciplinaires, et mène des ateliers théâtre. En 2008, elle ouvre son spectre disciplinaire à la création en Espace public, qui permet aux artistes de prendre place au cœur de la cité et de la société en s’en faisant son reflet.

En 2009, elle co-fonde le Festival Trace (festival transdisciplinaire chez l’habitant) à Gottechain (Belgique) dont elle aura la direction artistique durant 2 ans. 

En 2011, Julie s’installe à Fléchin (62) dans un ancien corps de ferme pour y impulser, diriger et développer un Pôle Culturel en milieu rural.
Elle y propose une programmation accessible et exigeante, éclectique et polymorphe où les arts du cirque et de la rue occupent une place importante. L’Arrêt Création est aussi labellisée Espace de Vie Sociale pour son important travail avec les habitants et ses nombreux projets de territoire. 

Elle est également Co-présidente du Pôle Nord, fédération régionale des arts de la rue et en espace public, fédération qu’elle représente au sein du CRAC-Collectif Régional des Acteurs Culturels des Hauts-de-France.


A UG#6

B.I.L.A.

Le Bureau d’Interprétation de la Langue des Arbres nous emmène en balade, à la découverte des récits des végétaux du Jardin Saint Druon. Un casque vous permettra de laisser traîner vos oreilles dans les discussions de la nature.

Lucie Baratte

Lucie Baratte est typo-graphiste, elle raconte des histoires. Elle dessine avec soin des logos qui ont du sens pour Logology, et écrit des livres : le premier est un récit autobiographique intitulé Looking for Janis, le second est un conte gothique nommé Le chien noir. Elle a travaillé en indépendante pendant plus de 10 ans pour des projets qui changent le monde à leur manière. Elle anime l’émission de radio Rebelles Rebelles où elle met en lumière l’histoire des femmes dans la musique populaire.


A UG#5

18 titres pour un playlist féministe parfaite

1h15 de conférence musicale sous forme de playlist idéale : c’est ce que propose Lucie Baratte pour mettre en avant ces musiciennes qui se sont servi de leur musique pour faire avancer leurs luttes.


Autres participations à UBER GANG

UG#2 – Looking for Janis

UG#3 – Looking for Janis, C’était avant la nuit

Sylvia Dubost

Sylvia Dubost conçoit et coordonne des éditions papier et des programmes radio, pérennes ou éphémères. Installée à Strasbourg, elle œuvre depuis 20 ans dans le secteur de la presse culturelle et régionale. Elle a assuré la rédaction en chef de plusieurs magazines et hors-séries, et développe aujourd’hui de multiples projets dans le domaine de la presse et de la communication. Journaux, magazines, guides, marathons radio, podcasts, émissions en public à l’occasion d’événements… Le format, le ton, au contenu et à la périodicité varient en fonction des contextes, le désir reste le même : aller au fond des sujets tout en les rendant accessibles


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Les Conversations 

Qu’est-ce qu’une écriture ? Et qu’est-ce qu’écrire ? Avec les mots, les sons, les corps, la lumière ? Comment commence l’écriture et de quoi se nourrit-elle ? UBER GANG engage la conversation avec les artistes invitées du festival, autour de leurs œuvres, de leurs inspirations et de leur processus de création.

Julia Haenni

Julia Haenni, née en 1988 en Argovie, travaille en tant qu’écrivaine indépendante, interprète et metteuse en scène en Suisse et en Allemagne.

Elle a étudié la mise en scène dramatique à l’université des arts de Zurich et a suivi en parallèle des études théâtrales et de littérature allemande au sein des universités de Berne et de Berlin. Ses œuvres ont été présentées en Allemagne, et dans un grand nombre de théâtres suisses. En France, ses pièces ont été présentées dans le cadre des festivals Mousson d’été, UBER GANG  et pour les Journées du Matrimoine.

En 2017, Julia Haenni a reçu une bourse du DRAMENPROZESSOR, où fut créée sa pièce Femme dans la forêt, mise en scène au Théâtre Marie pour le Heidelberger Stückemarkt ainsi qu’au Drama Fest de Mexico. Au cours de la saison 2018-2019, elle fut auteure résidente au Konzert Theater de Berne, où elle écrivit sa pièce Femme disparaît (versions), qui a remporté le prix de littérature de Berne en 2020. Elle continue à organiser des kiosques où tout et chacun peut lui commander des courts textes ; une première collection de ces derniers a été publiée en 2020 par les éditions Taberna Kritika de Berne. En 2021, elle a publié en collaboration avec la photographe Mali Lazell Ich will alles !, documentant par le texte et l’image des portraits de la grève féministe suisse de 2019, et qui a été nominé par le prix allemand du livre de photographie. De 2020 à 2022, elle a dirigé, avec Barbara Heynen, la Junge Marie, où elle a travaillé et crée du théâtre avec des jeunes gens. En 2021, elle a reçu le prix de la fondation Welti et de la ville de Berne pour son œuvre théâtrale.


A UG#5

Don Juan, l’homme épuisé

Don Juan au prisme de nos questionnements actuels, renversant un par un chaque stéréotype « typiquement masculin ». Adieu LE mâle, bonjour LES hommes. Pour une masculinité plurielle et une liberté d’être, tout simplement.


Autres participations à UBER GANG

UG#4 – Femme disparait (versions)